LA FETE DES MERES : UN VESTIGE DU CULTE DE LA « DEESSE - MERE» ET UNE EXPRESSION DU CULTE MARIAL

Publié le par restauration.judeoapostolique.over-blog.com

LA FETE DES MERES : UN VESTIGE DU CULTE DE LA « DEESSE - MERE» ET UNE EXPRESSION DU CULTE MARIAL

Chacun a la liberté de célébrer ou de ne pas célébrer telle ou telle fête

Mais, chacun a aussi le droit à la vérité

Droit à la vérité quant à l’origine des fêtes, leurs histoires, les circonstances de leur célébrations « primitives », pertinences des « Fêtes de L’ETERNEL », les « véritables fêtes de la judéo-chrétienté »…

Nous avons le devoir d’informer les gens selon toute la Vérité et rien que la Vérité. Les gens ont droit à la Vérité. Chacun a aussi le droit et la liberté de choisir de nous écouter ou pas. Chacun a aussi le droit et la liberté de faire ce qu’il veut de ces informations. Mais nous, si nous nous taisons, nous ne serons pas fidèles à notre devoir prophétique.

La « Loi de l’honneur » à l’égard des parents est le premier commandement avec une promesse

La Bible nous ordonne très clairement d’honorer (de respecter) nos parents, et cela tous les jours, toute l’année

« Honore ton père et ta mère, comme l’Eternel, ton Dieu, te l’a ordonné, afin que tes jours se prolongent et que tu sois heureux dans le pays que l’Eternel, ton Dieu, te donne » (Deutéronome 5:16). « Honore ton père et ta mère, afin que tes jours se prolongent dans le pays que l’Eternel, ton Dieu, te donne » (Exode 20:12). « Enfants, obéissez à vos parents, selon le Seigneur, car cela est juste. Honore ton père et ta mère c’est le premier commandement avec une promesse » (Ephésiens 6:1-2), Dieu l’ordonne (Matthieu 19 :19 ; Marc 10 :19 ; Luc 18 :20…).

C’est la véritable « Loi de l’Honneur » dont la violation sous la « Loi de Moïse » était passible de la peine de mort

"Si un homme a un fils indocile et rebelle, n’écoutant ni la voix de son père, ni la voix de sa mère, et ne leur obéissant pas même après qu’ils l’ont châtié… Ils diront aux anciens de sa ville: Voici notre fils qui est indocile et rebelle, qui n’écoute pas notre voix, et qui se livre à des excès et à l’ivrognerie (Deutéronome 21:18-20). « Car Dieu a dit: Honore ton père et ta mère; et: Celui qui maudira son père ou sa mère sera puni de mort » (Matthieu 15:4) « Car Moïse a dit: Honore ton père et ta mère; et: Celui qui maudira son père ou sa mère sera puni de mort (Marc 7:10).

La femme - la mère a besoin de reconnaissance, d’admiration et de respect (révérence)

Vu leur souffrance lors des accouchements, leur labeurs en tant que mères, leur rôle indispensable dans nos familles et nos foyers… Nous pouvons dire que sur la terre (à part le beau de Nom de Yéshoua – « quel beau Nom ! »), le nom mère – maman est le nom le plus beau, le plus doux et le plus savoureux à prononcer. Nous aimons profondément nos mamans. Deux de mes chansons préférées en créole du Cabo Verde (Cap Vert) : « Mãe, nomi sabi ki jà bu tem » (« Mère, quel beau nom tu as ») ; « Ka tem nome màs doce (Il n’ y a pas de nom plus doux »). Nous avons une pensée pour tous ces orphelins qui n’ont pas connu leur mère. Il n’est pas rare de voir des personne âgées dire : « je pleure encore ma mère ». Plusieurs années après la disparition de leur mère.

« Honore ton père et ta mère » signifie t-il que nous avons besoin d’une fête des mères et d’une fête des pères ?

La fête des mères est un vestige du culte de la « déesse - mère » et une expression du culte marial

Les fêtes qui honorent la déesse - mère (et la mère et l’enfant) existent depuis l’antiquité

A travers le monde antique, il y a eu des cultes de la « divine mère » : • La « divine mère » Sémiramis et son fils Thammuz (ou Nimrod), • La « déesse – médiatrice » Aphrodite (Grèce), • La « déesse – mère » Vénus (Cybèle) et de l’enfant Jupiter dont le père état Cronos (Saturne) – Rome, • La « déesse – mère » Ishtar (Rhéa) – Assyrie. • Les Astarté (Ashtarot/ Ashteroth, Ishtar) – « Philistie » / Phénicie, • La « déesse – mère » Isis et son fils Horus (dont le père était Osiris) – Egypte, • Diane (Artémis) – Ephèse, • Ostara (Eostre) célébrée à Pâques – Easter (Scandinavie) • La « sainte » Shing Moo (Chine), • La « déesse » Dévaki (Kali, Indrani) et son fils Krishna (Inde)… • Et enfin, la « mère de D.ieu » Marie et « l’enfant » J-ésus (chrétienté catholico orthodoxe)

Ces cultes et ces « fêtes des mères » s’inspirent donc des divinités égyptiennes et de la « Religion à Mystère de Babylone »

Religion satanique inventée bien avant la Naissance de Jésus. L’ennemi connaît le Plan Salvateur de Dieu : la Naissance du Rédempteur du monde par une vierge, Marie. Etant imitateur et expert dans la contrefaçon, le diable a aussi émis un plan satanique et a créé une vierge satanique.

Ce sont les babyloniens qui dispersés à travers le monde, ont diffusé la religion de la « divine mère et de son fils » (Genèse 10 :6-20 ; 11 :1-9 ; 1Chroniques 1 :10 ; Michée 5 :5)

«Cusch engendra aussi Nimrod; c’est lui qui commença à être puissant sur la terre (le premier héros sur la terre). Il fut un vaillant chasseur devant l’Eternel; c’est pourquoi l’on dit: Comme Nimrod, vaillant chasseur devant l’Eternel. Il régna d’abord sur Babel, Erec, Accad et Calné, au pays de Schinear. De ce pays-là sortit Assur; il bâtit Ninive, Rehoboth Hir, Calach,… Mitsraïm (Egypte)… les Philistins… Canaan… Sidon… les Jébusiens, les Amoréens, les Guirgasiens, les Héviens, … Gaza, et du côté de Sodome, de Gomorrhe. Ce sont là les fils de Cham, selon leurs familles, selon leurs langues, selon leurs pays, selon leurs nations» (Genèse 10 :8-20). Ce sont donc ces descendants de Noé qui ont bâti Babylone.

Nimrod avait épousé sa mère, Sémiramis – reine de Babylone, « reine du ciel », « médiatrice », « reine de l’humanité »…

Nimrod était un chasseur puissant qui provoquait Dieu. Selon la mythologie sumérienne et « les mystères de Babylone », Nimrod avait épousé sa mère, Sémiramis – reine de Babylone, « reine du ciel », « médiatrice », « reine de l’humanité »… Elle était considérée comme une déesse…. Ces mêmes « titres » ont été aussi donnés à « la Vierge Marie » par la chrétienté paganisée par imitation de Sémiramis. Cette femme ensorcelante est devenue reine de Babylone et la femme de Nimrod. Nimrod est appelé « le mari de sa mère ». Sémiramis et Nimrod ont donné naissance à une grande fausse religion. Nimrod avait plusieurs noms : Moloch, Baal…

A la mort de Nimrod, Sémiramis a donné naissance à Tammouz (Thammuz)

Elle a déclaré que Tammouz était la réincarnation de Nimrod. Tammouz est devenu Baal… Le 14 février, Sémiramis, mère de Tammouz a été soi-disant purifiée grâce à son apparition en public avec son fils Tammouz. Nous comprenons bien l’origine de la vénération « mère et fils » ; de la vénération de « la Vierge et l’Enfant ». C’est à Babylone que le diable trouvé sa vierge satanique : Sémiramis. Une sorcière séductrice qui a conduit des millions de gens au royaume de satan. Des millions la considéraient comme la déesse – mère.

L’esprit idolâtre de Nimrod avait donc plusieurs noms : Baal, Moloch… (Lévitique 18:21 ; 20:2-5 ; 1 Rois 11:7 ; 2 Rois 23:10 ; Jérémie 32:35 Actes 7:43…)

De nombreux enfants ont été sacrifiés en l’honneur de Moloch (Moloc). Le jour où Nimrod a été tué, le peuple a pleuré. Par ses stratégies sataniques, Sémiramis a aussi conçu un plan satanique. Elle donne donc naissance à un autre enfant et dit que Nimrod s’est réincarné. Cet enfant s’appelait Tammuz. Il est devenu Baal, le dieu – soleil. D’où les nombreuses statues en l’honneur de la déesse et de son enfant, de la « mère et l’enfant » : Isis et Horus, Dévaki et Krishna, Indrani et l’enfant… la « vierge et l’enfant ». Elevée au rang de déesse, elle porte donc plusieurs noms : Balti (la madone)…

La vénération de « la mère et l’enfant », de la madone… a donc pour origine Babylone

Résumons : Sémiramis et Tammouz (Baal) ; Egypte : Isis (la déesse – mère), Horus (l’enfant) ; Grèce : Aphrodite, la médiatrice (la déesse) ; Rome : Vénus (la déesse), Jupiter (l’enfant) ; Canaan (Terre Sainte – Israël/ « Palestine ») : Astarté (la déesse), Ball (l’enfant) ; Chine : Shing Moo (la sainte mère) ; Inde : Dévaki la déesse), Krishna (l’enfant) ; Ephèse : Diane (la mère des dieux associés à Sémiramis) ; Scandinavie : Disa (représentée avec un enfant).

La fête des mères remonte aussi aux cultures et mythologies de la Grèce et de Rome

Dans ces deux civilisations, la mère – déesse (la reine du ciel) était adorée durant les festivals religieux du printemps

600 ans avant notre ère, les grecs honoraient la déesse Rhéa, la femme de Cronos (Kronos ou Saturne). Rhéa est connue comme la mère des dieux et des déesses (la reine du ciel). Chez les romains il y a avait une fête similaire consacrée à l’adoration de Junon, appelée « matronalia ». Une fête romaine de trois jours en mi-mars appelé Hilaria pour honorer la déesse « magna mater », (ou grande mère remonte) à 250 avant notre ère. La religion des romains (et des grecs) s’inspirait très clairement de l’ancienne religion de Babylone.

La fête des mères a donc aussi pour origine les festivals de printemps consacrés aux déesses mères

La fête des mères est : « un festival qui provient de la coutume de l’adoration de la mère dans la Grèce antique. Une adoration formelle de la mère. Avec des cérémonies en l’honneur de Cybèle (ou Rhéa), la grand-mère des dieux. Ces cérémonies avaient lieu aux ides de Mars » (Encyclopædia Britanica, 1959). Les ides de mars (idus Martias en latin) – le 15 mars d’après le calendrier romain. Jour festif dédié au dieu Mars. Les grecques avaient donc ces fêtes de printemps en l’honneur de Rhéa, la femme de Chronos et la mère des dieux et des déesses.

Insistons bien, qu’à Rome, c’était la fête des mères consacrée à la vénération de Cybèle, une déesse mère

Redisons-le. Cette cérémonie religieuse en son honneur date d’environ 250 ans avant notre ère. Elle s’appelait Hilaria et durait 3 jours. Du 15 au 8 mars. Mentionnons aussi la fête romaine de la maternité : Matronalia. Célébrée chaque année en début mars. Cette fête annuelle de la femme avait lieu en l’honneur de Juno Luciana. La déesse qui protégeait les femmes mariées et celles en fin grossesse. Cette déesse était chargée des femmes en « travail », des nouveau-nés…

L’invention de satan pour détruire le Véritable Christianisme (Messianisme) a été de créer une fausse religion chrétienne calquée sur Rome – une chrétienté paganisée opposée à la Véritable Eglise

Rome, la capitale de l’empire romain était la solution idéale

Cette coutume païenne d’honorer la déesse mère a été adoptée par le catholicisme romain

Avec le temps, cela a coïncidé avec la célébration de l’église – mère (« notre sainte mère l’église »). La tradition d’honorer l’église – mère a remplacé les traditions païennes qui consistaient à honorer les déesses. Avec la croissance de la chrétienté, la célébration de « la mère – église » a remplacé les traditions païennes qui consistaient à honorer les déesses de la mythologie « babylono-egyptio-greco-romaines ». L’expression « notre sainte mère, l’église » se comprend très bien à la lumière de ces faits.

L’astuce du diable a été de garder le fond babylonien païen et de lui donner une forme chrétienne

Les prétendus « pères de l’église » ont beaucoup contribué par leurs écrits à redonner un nouveau visage chrétien à la vieille religion babylonienne. Un véritable monstre religieux. «…La grande prostituée… c’est avec elle que les rois de la terre se sont livrés à l’impudicité… ayant sept têtes… Elle tenait dans sa main une coupe d’or, remplie d’abominations et des impuretés de sa prostitution… Babylone la grande, la mère des impudiques et ds abominations de la terre… ivre du sang des saints et du sang des témoins de Jésus… » (Apocalypse 17 :1-6). Ce monstre religieux a pour but de stopper le Véritable Evangile. Vivement la chute de Babylone !

La statue de Pierre a remplacé celle de Jupiter ; la statue de la vierge Marie a remplacé celle de Vénus

Par la [fausse] conversion de l’empereur romain Constantin le grand au « Christianisme » en 321 de notre ère, par les écrits des prétendus « pères de l’église », la statue de Pierre a remplacé celle de Jupiter ; la statue de la vierge Marie a remplacé celle de Vénus. ALORS QUE LA BIBLE CONDAMNE TRES CLAIREMENT LES STATUES ET LES IDOLES. La nouvelle religion romaine « chrétienne paganisée a établi son siège à Rome. Sur l’une des sept colline de Rome (Apocalypse 17 :3). Cette colline est appelée « Vaticanus ». Là où se trouvaient le temple de Janus et aussi un lieu de divination.

Pour les babylonien, seule la déesse – mère pouvait vraiment influencer son fils

Cette conception satanique a été empruntée et appliquée par la chrétienté babylonienne avec un très grand succès. D’où la conception païenne de la « médiation de la vierge ». Les autorités religieuses de la chrétienté et l’empereur romains Constantin ont compris que pour que de nombreux peuples se convertissent facilement au catholicisme, il fallait ajouter le culte de la déesse – mère dans le catholicisme. Il fallait donc remplacer la sainte mère du paganisme par un personnage biblique. Le choix logique est donc « la vierge Marie ». Un culte tout a fait semblable au culte païen.

« Un nom mystérieux est écrit: «La grande ville de Babylone, la mère des prostituées et des actions horribles qui ont lieu sur la terre»

Oui, « Religion à Mystère de Babylone » ! « … Viens, je te montrerai le jugement de la grande prostituée qui est assise sur les grandes eaux... Elle tenait dans sa main une coupe d’or, remplie d’abominations et des impuretés de sa prostitution. Sur son front était écrit un nom, un mystère: Babylone la grande, la mère des impudiques et des abominations de la terre… Je te dirai le mystère de la femme et de la bête qui la porte, qui a les sept têtes et les dix cornes… » (Apocalypse 17:1-5). D’où les « 2 Babylone » (« la chrétienté paganisée est la prostituée de l’Apocalypse).

« Gâteaux à la reine du ciel »et « pleurer su Thammuz » ? – Jérémie 7 :18 et Ezéchiel 8 :14

Le « gâteau des mères » est une pratique qui est associée à la coutume des « anciens » de faire des gâteaux à la « reine du ciel »

En Angleterre, la fête des mères est célébrée depuis le 13ème siècle de notre ère. Avec des « simmel cakes » (gâteaux enrobés de pâte d’amandes, servi aussi à Pâques) ou des « gâteaux du jour des mères ». Pour honorer leur mère, ils apportaient des cadeaux ou un « gâteau des mères ». « Les enfants ramassent du bois, les pères allument le feu, et les femmes pétrissent la pâte, pour préparer des gâteaux à la reine du ciel, et pour faire des libations à d’autres dieux, Afin de M’irriter » (Jérémie 7 :18).

Le dimanche des mères est intimement lié au rituel païen de « pleurs sur Thammuz » et l’adoration du soleil, en son jour – « Sunday »

Les quarante jours de carême sont d’origine babylonienne. Le 4ème dimanche du carême était devenu le dimanche des mères. Contrairement à ce qu’on croit, les 40 jours de carême sont intimement liés aux 40 jours de « pleurs sur Thammuz » (et as vraiment aux 40 jours de jeûne de Jésus…). Un rituel de lamentation pour ce dieu païen mésopotamien (dieu de la fertilité, dieu du printemps, dieu de la végétation). Chose abominable aux Yeux de Dieu. Malgré tous les avertissements de la Bible : « …Et il me conduisit à l’entrée de la porte de la Maison de l’Eternel, du côté du septentrion. Et voici, il y avait là des femmes assises, qui pleuraient Thammuz…Et il me conduisit dans le parvis intérieur de la maison de l’Eternel. Et voici, à l’entrée du temple de l’Eternel, entre le portique et l’autel, il y avait environ vingt-cinq hommes, tournant le dos au temple de l’Eternel et le visage vers l’orient; et ils se prosternaient à l’orient devant le soleil » (Ezéchiel 8 : 12-16). L’ETERNEL condamne cette abomination. Ce Sacrilège. Cette profanation (2Rois 23 :5-13 ; 2Choniques 36 :14…).

Rappelons que Thammuz était « un dieu » vénéré et en Babylonie et en Phénicie

Il s’agit du dieu grec Adonis. La mort de Thammuz symbolisait la destruction de la végétation printanière par la chaleur de l’été. La mort prématurée de Thammuz a conduis son épouse Ishtar à descendre dans les « lieux inférieurs de la terre » pour le chercher. Chaque année, « pleurer sur Thammuz » était spécialement célébrée par les femmes pendant 7 jours. Mais cette période de « pleurs » durait réellement 40 jours. Au 4ème mois, appelé Thammuz (Mai - Juin). La fête des mères (et des pères) actuelles tombe en cette période.

Mais en réalité, Thammuz était une personne réelle - bien que déifié et adoré après sa mort

Thammuz était fils de Nimrod. Rappel : Nimrod était un descendant direct de Noé. Noé a eu un fils appelé Cham. Cham a eu un fils appelé Cusch (Genèse 10 :1-20). Cusch a épousé Sémiramis et a engendré Nimrod. A la mort de Cusch, Nimrod a épousé sa propre mère, Sémiramis. A la mort de Nimrod, Sémiramis était enceinte de Thammuz. Sémiramis a proclamé que Thammuz était la réincarnation de Nimrod.

Un mot sur la fête des pères qui tombe le 3ème dimanche de juin – vers le solstice d’été

Comme la plupart des fêtes, la fête des pères, est enracinée dans le culte païen du soleil

Les peuples païens accordaient une très grande importance aux saisons et à la position du soleil dans le ciel. Les « fêtes modernes » de la chrétienté suivent ce modèle : noël (solstice d’hiver) ; Pâques – Easter (équinoxe de printemps), fêtes des pères (solstice d’été). La fête des pères est célébrée le jour du soleil. Pas loin du solstice d’été. Ceci démontre clairement son origine païenne. Les fêtes agricoles des païens se célèbrent en rapport avec l’adoration du soleil.

On y voit la puissance du dieu – soleil pour vaincre les ténèbres

D’où les coutumes telles que « sauter le feu », « bonfires » (« feux de joie »)…. Certains appellent la fête des pères « le jour du grand père du ciel ». Cette fête est associée au rite païen de la fête Litha. Au solstice d’été (opposé à Yule au solstice d’hiver). Cette fête païenne appelée Litha est consacrée au dieu Lugh. Ce jour est aussi appelé « saint roi ». Il est associé à la vénération solaire dans beaucoup de cultures.

La fête des pères a été associée dans la chrétienté au jour de « la saint Joseph » (19 mars)

Cette fête païenne « christianisée » par les catholiques après Constantin a donné la « Saint-Jean » en juin. La Bible nous demande bien sûr d’honorer nos pères, les autorités, les conducteurs spirituels de l’Eglise et de suivre leurs exemples. Mais, la Bible ne parle nulle part d’un jour spécial pour honorer les pères.

Liberté pour chacun « de ou de ne pas célébrer »

On peut vraiment se demander « qu’est-ce qu’il y a de mauvais à célébrer la fête des mères ? »

C’et une autre fête tout à fait ignorée par l’Eglise Primitive et non mentionnée par la Bible. Une autre fête basée non sur la Bible mais sur de croyances païennes. Nous ne devons pas aimer le monde. Soyons un peu pus sensibles. Certains qui ont été abusés par leur mère et /ou père, les membres des assemblés sans enfants, les femmes stériles… trouvent cette fête très pénible.

La fête des mères tombe le deuxième dimanche de mai aux USA, 4ème dimanche de mai en France…

Comme la plupart des fêtes, elle est enracinée dans le culte païen du soleil. La fête des mères est célébrée le jour du soleil – leur dieu le plus puissant. Il y a plusieurs noms de déesses païennes et de titres associés à la fête des mères et à Sémiramis : la grande déesse - mère, la reine du ciel, Aphrodite, Cybèle ou Sybil, Artémis, Diane, Electre, Europe, Isis, Venus, Astarté, Ashteroth, Ishtar… et aussi la médiatrice, la mère de l’humanité, « la mère de Dieu »…

Encore le règne de l’argent et de l’apparence ! – comme pour noël et pâques

La fête des mères est la 3ème fête en termes d’assistance aux offices religieux après Noël et Pâques. Donc, « églises pleines », bonne recettes ecclésiales en termes de dîmes et d’offrandes…

C’est encore une occasion pour les fleuristes, les vendeurs de cartes de vœux et autres commerçants de se faire un bon chiffre d’affaire. Ces fêtes existent essentiellement aujourd’hui pour des buts lucratifs plutôt que pour la commémoration d’évènements historiques.

La plupart des croyants préfèrent fermer leurs oreilles pour ne pas entendre la vérité

Ils diront que la fête des mères n’a rien à voir avec les pratiques païennes. Certains croient qu’ignorer ces fêtes alors qu’elles tombent un dimanche alors que la plupart des Evangéliques font culte ce jour là coupe les croyants de la culture ambiante et les rend impertinents

Pour ceux qui croient qu’il y a « solution de continuité » (rupture, interruption) avec l’origine païenne de ces fêtes :

Dans les assemblées, certains préfèrent juste faire une prière d’action de grâces pour les mères ou tout simplement souhaiter une joyeuse fête des mères/des pères. L’approche la plus équilibrée si on veut aussi honorer les mères ce jour-là, serait pour eux de ne pas centrer la réunion sur les mères (et la fêle des mères) mais de tout juste faire « une prière générale » pour les mamans.

Mais disons-le : ces fêtes n’ont rien à voir avec l’Adoration en Esprit et en Vérité

La Parole de Dieu et honorer les parents de manière appropriée passent avant la tradition des anciens (Matthieu 15 :1-9).

Nous devons aimer Jésus plus que nos parents. « Celui qui aime son père ou sa mère plus que Moi n’est pas digne de Moi, et celui qui aime son fils ou sa fille plus que Moi n’est pas digne de Moi (Matthieu 10:37).Jésus d’abord. Obéissons d’abord à Dieu (Actes 5 :29).

Nous n’avons pas besoin d’une fête pour monter à nos parents que nous les honorons, apprécions et estimons. Cela doit se faire tous les jours.

Notre devoir prophétique est d’avertir et d’informer le peuple de Dieu quant à l’origine païenne de la plupart des fêtes de la chrétienté. Mais aussi quant à l’actualité des fêtes bibliques (« Fêtes de l’ETERNEL »)… Autrement, nous ne serions pas des serviteurs fidèles de Dieu.

Nous n’imposons rien à quiconque. Nous ne faisons pression sur personne. Nous ne condamnons et n’accusons aucun individu. Chacun est libre. Nous n’exerçons pas un « ministère de condamnation et d’accusation ».

Nous avons cependant une obligation morale et spirituelle de présenter des informations et des faits historiques. A chacun d’en faire ce qu’il veut. A bon entendeur, salut !

(Copyright: Michel SILVA ANDRADE)

            Faites un don:

 

LA FETE DES MERES : UN VESTIGE DU CULTE DE LA « DEESSE - MERE» ET UNE EXPRESSION DU CULTE MARIAL
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :